25 mars 2017
La protection des insectes
Les scientifiques l'affirment : aujourd'hui, de nombreux insectes tributaires des bois morts sont menacés de disparition, car pour certains, franchir une distance de 50 mètres jusqu'à l'arbre mort le plus proche représente une difficulté insurmontable. En enlevant l'arbre hôte, on signe l'extinction locale de l'insecte. Ce n'est pas un hasard si le grand capricorne, la rosalie des Alpes, le pique prune ou le lucane cerf-volant, qui vivent dans le bois mort ou pourri, bénéficient d'un statut de protection dans notre pays.
Le grand capricorne, le lucane cerf-volant et, remarquablement, le pique-prune, sont encore notés sur le Lanot de Castet. Tenons en compte !
Michel Chalvet, GEOB
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